Les 5 salutations japonaises pour dire bonjour attirent de plus en plus l’attention des passionnés de voyage et des amateurs de culture japonaise. Pour comprendre comment dire bonjour en japonais et éviter tout faux-pas, il faut saisir la différence entre une simple salutation et un véritable acte social ancré dans la tradition. Cette diversité, reflet de la richesse linguistique du Japon, influence chaque interaction du matin au soir, des rencontres professionnelles aux échanges familiaux. Savoir adapter sa formule en fonction du contexte, prononcer chaque mot avec soin et respecter les codes gestuels comme l’inclinaison en japonais, c’est déjà commencer à s’imprégner du respect culturel au Japon. Un voyage réussi débute toujours par un bonjour bien choisi.
Les différentes expressions de bonjour selon le moment de la journée
😊 Dès qu’on pose le pied à Tōkyō ou qu’on croise un Japonais au détour d’une randonnée, une question se pose : quelle formule utiliser pour souhaiter la bonne journée ? Dans la langue japonaise, il existe plusieurs variantes de salutations selon les heures de salutations, du lever du soleil jusqu’à la nuit tombée. Cette attention portée au moment souligne la délicatesse et la nuance de la communication au Japon.
Le matin, la fraîcheur de la journée s’accompagne d’un “ohayō” ou “ohayō gozaimasu”, variantes qui évoluent en fonction du statut de l’interlocuteur. Vers midi et durant l’après-midi, place au célèbre “konnichiwa”, tandis qu’à la tombée du jour, c’est “konbanwa” qui prend le relais. Chaque bonjour de l’après-midi ou du soir exige une écoute attentive au contexte, mais aussi à la manière dont on articule ces mots et expressions de base : la fausse note en matière de prononciation japonaise peut transformer une tentative de respect en maladresse involontaire.

Ainsi, la richesse des formules de politesse japonaises transparaît autant dans la conversation quotidienne que dans les échanges professionnels. Un jeune Français arrivé au Japon peut être surpris d’entendre “ohayō gozaimasu du matin” même après 15h dans un bureau, alors que les formules les plus familières, dont “ossu entre amis” ou “yaho salutation féminine”, créent une atmosphère de connivence.
Le matin : Ohayō et Ohayō gozaimasu
🌅 La première lueur du soleil éveille les traditions : “ohayō” (おはよう), c’est le bonjour du matin entre proches ou collègues que l’on connaît bien. La forme plus polie, “ohayō gozaimasu”, utilisée dès l’aube, affirme autant la bienveillance que le respect hiérarchique. Dans un environnement où les nuances de la politesse prennent un sens particulier, opter pour “ohayō gozaimasu” dans un cadre professionnel ou face à un aîné est la marque d’un véritable respect culturel au Japon. Cette façon de saluer s’inscrit dans les habitudes, transcende la simple formule et s’associe au keigo, le langage honorifique. Même pour un néophyte, imiter l’inclinaison en japonais en prononçant “ohayō gozaimasu” avec soin, c’est démontrer sa capacité à comprendre les codes sociaux les plus raffinés du Japon.
L’après-midi : Konnichiwa
🌞 Dès la fin de la matinée, la salutation こんにちは “konnichiwa” prend le relais. Qu’on la rencontre dans un manuel d’italien et japonais, sur NHK World Japan ou dans les rues de Tōkyō, cette formule n’est pas seulement la plus connue des salutations japonaises : elle témoigne aussi d’une reconnaissance sociale. “Konnichiwa de l’après-midi” s’emploie envers des interlocuteurs variés, mais la prononciation correcte, attentive à la longueur des syllabes, évite la fausse note. Le refus du raccourci linguistique est une forme de respect : une prononciation négligée peut donner l’impression d’un manque de respect. Les échanges avec la Japan Foundation ou dans une classe de langue japonaise rappellent que même ce simple mot exige la pleine attention à la phonétique japonaise.
Le soir : Konbanwa
🌙 À mesure que la nuit s’installe, “konbanwa” (こんばんは) devient la salutation attendue. Ce “bonsoir” japonais sert dans les contextes sociaux, familiaux ou lors d’événements formels. Chacune de ces transitions entre les périodes de la journée témoigne du respect, mais aussi de la sensibilité à l’ambiance : dans un dîner, lors d’une réunion de quartier ou à la télévision avec Kunihiko Ikuhara, “konbanwa du soir” catalyse attention et politesse. Cette expression symbolise la connexion avec autrui, la prise en compte de la temporalité dans le dialogue, et rappelle que le bonjour en contexte social n’est jamais anodin au Japon.
Tableau comparatif des salutations selon le moment de la journée
🗓️ Pour s’y retrouver face à la diversité des formules, voici un aperçu visuel des variantes de salutations et de leur usage. Les colonnes distinguent l’expression (en hiragana, katakana, kanji et romaji), le moment conseillé, le niveau de formalité et la cible adaptée.
⏰ Moment | 📝 Expression (écriture) | 🙇♂️ Formalité | 👥 Utilisation |
|---|---|---|---|
Matin | おはよう / Ohayō (hiragana) | Informelle | Entre amis, proches |
Matin / Toute la journée (pro) | おはようございます / Ohayō gozaimasu (hiragana) | Formelle | Bureau, hiérarchie |
Après-midi | こんにちは / Konnichiwa (hiragana) | Neutre / Standard | Collègues, inconnus, public |
Soirée | こんばんは / Konbanwa (hiragana) | Formelle | Événement, entrée, famille |
L’usage de “oyasumi” pour la nuit (“bonne nuit” après le coucher du soleil) complète ce tour d’horizon, soulignant combien la division de la journée structure la communication japonaise.
La dimension sociale et culturelle des salutations japonaises
🎎 Plus qu’un simple échange de mots, les salutations représentent au Japon un acte profondément lié à l’identité, à la culture et aux relations hiérarchisées. Les savoir-faire linguistiques se combinent à des gestes de salutation bien codifiés, révélant une attention constante au contexte social, à la formalité et à la relation avec l’interlocuteur. La flexibilité des formules de politesse japonaises témoigne du souci d’éviter toute fausse note. Se poser la question de comment saluer en fonction du moment et de la personne devient un véritable acte d’intégration, largement ancré dans l’axé du respect culturel au Japon, renforcé par la pratique des formalités dans la culture japonaise. On sent toute la force symbolique de la politesse dans cette structure sociale, où chaque mot et chaque mouvement a sa portée.
🙇♂️ Inclinaison du buste (ojigi) : Le geste d’incliner légèrement le buste lors des salutations, avec variation selon la hiérarchie.
👨💼 Comportements formels et informels : Le suffixe “gozaimasu” distingue la politesse tandis que les approches plus familières apparaissent dans des cercles restreints.
🗣️ Prononciation attentive : Montrer que l’on appartient à la communauté en articulant chaque mot, et en respectant le tempo (keigo).
👋 Absence de contact physique au Japon : Pas de poignée de main ni de bise ; le langage corporel prend le dessus pour assurer la distance respectueuse.
Formalité et niveaux de politesse
🎩 Au Japon, le niveau de formalité d’une salutation fait l’objet d’une attention particulière, élevant la différence entre un simple “bonjour” et la manifestation d’un réel respect. L’ajout du suffixe honorifique “gozaimasu” à “ohayō” structure la distinction entre salutation informelle et salutation formelle. Savoir choisir la bonne formule selon la relation – collègues, supérieurs hiérarchiques, inconnus ou amis proches – traduit votre capacité à décrypter les nuances de la politesse régissant la société japonaise.
Le keigo, système de langage honorifique utilisé à la fois dans le monde professionnel et dans la vie de tous les jours, structure cette hiérarchie. Ce haut niveau d’exigence crée un pont entre l’apprentissage linguistique et l’insertion dans la culture japonaise. Les formules de politesse utilisées dans les cartes de politesse japonaises ou dans les conversations officielles évoluent aussi avec le contexte, illustrant la volonté de respecter l’intimité de chaque interaction.
Gestes associés : l’inclinaison du buste et l’évitement du contact physique
🙇 L’inclinaison en japonais (ojigi) incarne la politesse par excellence. Ce rituel, subtil et osmotique avec la vie sociale, remplace la poignée de main ou la bise, proscrites pour préserver l’espace personnel et le respect mutuel. Les gestes de salutation, tels que l’angle de l’inclinaison ou la durée, varient selon la formalité de la situation et l’âge de la personne saluée. Dans un lieu public comme sur le réseau de la Japan Foundation ou la chaîne NHK World Japan, chacun sait que cette chorégraphie sociale vaut autant que les mots prononcés. L’élément du langage corporel occupe donc, au Japon, un rôle incontournable, qui va bien au-delà de la formule verbale.
Ce qui est remarquable, c’est la cohérence de ces gestes across le temps : ils transmettent aussi bien la reconnaissance, la gratitude ou des excuses, selon la profondeur de l’inclinaison. La politesse n’est alors jamais un détail, mais une démarche ancrée jusque dans la gestuelle la plus naturelle.
Expressions informelles et usages régionaux
😃 Pour colorer les échanges entre amis ou dans certains groupes sociaux, la langue japonaise fourmille de formules familières de salut. Des termes comme “ossu entre amis”, souvent lancé dans les clubs scolaires sportifs, ou “yaho salutation féminine”, utilisé surtout dans les échanges en ligne ou entre jeunes filles, illustrent la flexibilité du japonais au sein des cercles informels.
👍 “Ossu” : argot japonais, utilisé entre garçons, signe d’une joyeuse camaraderie.
💬 “Yaho” : salutation féminine, amicale, relevant de l’approche informelle ou virtuelle.
🎉 “Ohisashiburi desu” : “Ça fait longtemps !” – une expression marquant les retrouvailles.
👐 “Ja ne pour au revoir” et “dewa mata” : façons légères de prendre congé, éloignées de la solennité de “sayōnara”.
Il n’est pas rare que chaque génération ou région, de Tōkyō à Osaka, adopte ses propres tendances du langage et expressions japonaises courantes. La diversité de ces usages, parfois encouragée par des figures comme Kunihiko Ikuhara dans les médias, nourrit la vitalité de la langue japonaise au quotidien.
La prononciation et l’importance du respect dans les salutations
👂 Dans l’art de saluer, la prononciation est un pilier de la communication au Japon. Maîtriser la phonétique japonaise, c’est montrer que l’on respecte son interlocuteur et que l’on accorde de l’attention au détail. Chaque syllabe compte : une erreur peut faire glisser une conversation amicale vers le malentendu, tandis qu’une diction précise valorise la qualité de l’échange. Certains manuels, comme ceux proposés par la Japan Foundation ou NHK World Japan, insistent sur l’usage des systèmes d’écriture (hiragana, katakana, kanji) et la translittération en romaji pour permettre à tous de s’exercer à la prononciation correcte. L’expérience d’un voyage au Japon révèle vite qu’un “konnichiwa” bien prononcé favorise une atmosphère agréable et détendue, alors qu’une approximation génère une gêne inattendue.
Au-delà de la simple expression orale, la rigueur dans la prononciation renforce la confiance de chaque interlocuteur et confirme votre volonté de partager les règles implicites du respect culturel au Japon. Cette vigilance au détail témoigne d’un effort d’intégration qui va bien au-delà du mot “bonjour” seul.
Les particularités phonétiques à maîtriser
👅 La phonétique japonaise se distingue par la régularité des voyelles, la scansion équilibrée des syllabes et l’absence d’accent tonique marqué. Pour “konnichiwa”, il s’agit d’allonger légèrement le “ni” et d’éviter toute glissade sur le “wa”. Apprendre à distinguer “ohayō” (çon nuancé sur “yo”) et “ohayou gozaimasu” (enchaînement rapide sans couper “gozaimasu”) permet de répondre aux salutations sans la moindre hésitation. Les manuels insistent aussi sur la transcription des sons grâce au romaji, facilitant l’apprentissage de l’alphabet hiragana et katakana, avant d’aborder le kanji.
Le soin apporté à cette dimension sonore, renforcé par l’étude de mots et expressions de base, contribue à éviter les impairs et aide chaque voyageur à s’imprégner de la culture japonaise dès la première conversation. La maîtrise de la prononciation japonaise soutient la relation, quel que soit l’interlocuteur rencontré.
Impact de la prononciation sur la perception sociale
👂 Un “bonjour” approximativement articulé transmet involontairement une image d’inattention, voire de désintérêt, là où chaque syllabe est vécue comme une marque de respect. Pour qui cherche à s’intégrer dans la vie quotidienne japonaise, la prononciation attentive rassure, valorise l’échange et témoigne d’un engagement envers la politesse et la bienséance. Cela vaut dans les contextes professionnels comme lors d’une première rencontre entre amis. La question “comment dire bonjour en japonais ?” n’est alors pas simplement linguistique : elle devient sociale. Les enseignants de la Japan Foundation soulignent parfois qu’un négligé dans l’articulation peut gêner, voire véhiculer un manque de respect, alors que quelques efforts de correction créent une atmosphère propice à la confiance.
Apprendre à saluer, c’est aussi apprendre à représenter sa propre sensibilité aux nuances de la politesse japonaise, à travers l’écoute du rythme, de l’accent et du souffle de la conversation.
Autres formules de politesse liées aux salutations
💡 Les formules de politesse japonaises s’étendent au-delà du “bonjour” pour englober des expressions idiomatiques utiles dans chaque phase de la journée ou du dialogue. Après un salut, il est habituel d’utiliser des mots ou expressions de gratitude ou d’excuse afin d’affiner davantage la communication.
🙏 “Arigatō” : exprimer la gratitude après un service ou un échange.
🙏 “Sumimasen” : s’excuser ou attirer poliment l’attention de quelqu’un (question fréquente dans les lieux publics).
👋 “Sayōnara” : utilisé pour des adieux définitifs ou marquants.
✋ “Ja ne”, “dewa mata” : “à plus tard”, pour relatives plus décontractées.
🧘 “Watashi wa genki desu” : “je vais bien”, pour répondre aux salutations.
🌞 “Oyasumi” : souhaiter une bonne nuit ou indiquer la fin de la soirée.
🗣️ “Omae wa mou shindeiru en argot” : formule humoristique tirée de l’argot japonais, connue dans la pop culture.
L’apprentissage de ces expressions, courantes parmi les mots et expressions de base, complète l’intégration à la communication japonaise et permet de répondre habilement à toutes les situations du quotidien.
Usage des salutations dans des contextes spécifiques
🎏 La richesse des salutations japonaises ne s’arrête pas à la distinction entre le matin, l’après-midi ou le soir. Leur usage diffère selon le contexte, la relation et même le cadre institutionnel. Rencontrer un groupe de collègues à Tōkyō, discuter avec des amis lors d’un matsuri local ou répondre à un voisin en campagne requiert, à chaque fois, une adaptation minutieuse : on ne salue pas un supérieur du ministère comme un camarade de randonnée. La diversité des formules, la variation dans l’intensité du geste, l’alternance entre l’expression verbale et le langage corporel, sont au cœur de la communication au Japon.
Prenons l’exemple d’une scène de bureau : un employé saluera chaque membre de l’équipe par “ohayō gozaimasu” même à midi, traduisant l’état de vigilance collective et l’alignement avec les formalités dans la culture japonaise. Dans d’autres contextes, l’approche informelle se manifeste davantage. Comprendre ces nuances de la politesse aide à éviter les malentendus mais aussi à s’intégrer plus rapidement, que l’on soit expatrié, touriste ou simple visiteur curieux.
Salutations au travail : usage étendu d’Ohayō gozaimasu
🏢 Dans l’univers professionnel, particulièrement à Tōkyō et dans les grandes entreprises, “ohayō gozaimasu” ne désigne plus seulement le bonjour du matin. Cette formule devient une sorte de geste rituel, une manière d’aligner les collaborateurs autour d’une énergie commune, même lorsque la journée est bien entamée. Cette salutation établit un climat harmonieux, fait preuve de respect envers chaque membre de la hiérarchie et contribue au maintien des relations cordiales.
Par ce biais, chaque échange, du supérieur au junior, s’embellit d’un ton formel et d’une ponctualité irréprochable. Adopter cette pratique consacre l’importance de la tradition – soutenue par de nombreux guides linguistiques dont ceux de NHK World Japan – et témoigne de la compréhension profonde de la culture et des codes du monde professionnel japonais. L’usage étendu d’ohayou gozaimasu du matin illustre bien la capacité de la langue japonaise à s’adapter à la structure sociale et au rythme de la vie de bureau.
Salutations entre amis et dans la vie quotidienne
🏞️ Dans l’intimité d’un groupe d’amis ou au cœur de la vie quotidienne, la palette des formules familières de salut s’élargit. Les “ossu entre amis”, “yaho salutation féminine” et diverses expressions idiomatiques illustrent les tendances du langage propre à chaque génération. Dans une bande de jeunes passionnés de randonnée, il n’est pas rare d’entendre l’argot japonais ponctuer la salutation du matin ou du soir. Ces occurrences traduisent une certaine décontraction, loin de la rigidité hiérarchique du monde professionnel.
Dans les zones rurales ou lors des fêtes locales, l’usage se teinte de spécificités régionales, chaque région cultivant des versions propres de ses salutations. Ce foisonnement linguistique traduit la vitalité de la communication japonaise dans la vie quotidienne, chaque nouvel échange enrichissant l’expérience et l’ancrage dans la société locale.
L’importance du contexte culturel dans les interactions sociales
🏯 Que l’on arrive à Tōkyō ou dans un village de la campagne nippone, saluer n’a jamais le même sens, tant le contexte pèse sur la nature de la formule choisie. La culture japonaise façonne l’art des salutations : la distance spatiale, la posture, le niveau d’intonation reflètent la hiérarchie, l’intimité ou l’intention de poursuivre la conversation. Dans le métro, un simple regard et une inclinaison suffisent, tandis qu’à la maison, la répétition des salutations rythme la cohabitation.
Prendre conscience du poids des codes, c’est accepter que chaque mot, chaque élément du langage corporel ou valeur ajoutée (“un mot d’excuse, de gratitude, de politesse”) participe à construire l’harmonie. Les coutumes, transmises via les médias et par des personnalités comme Kunihiko Ikuhara, rappellent que la communication au Japon est avant tout un art subtil, qui nécessite écoute et adaptation. Savoir répondre à ces exigences, c’est déjà un pas vers la maîtrise de la langue et l’intégration à la culture locale.
FAQ
Comment prononcer correctement « Konnichiwa » ?
La prononciation de “konnichiwa” doit être claire, en respectant la phonétique japonaise. Chaque syllabe se prononce distinctement : “ko-n-ni-chi-wa”, la voyelle “i” de “chi” étant brève mais audible. Il faut veiller à ne pas accentuer exagérément une partie du mot, pour éviter une fausse impression. Une articulation précise démontre la volonté de respecter les tendances du langage et contribue à réussir la communication au Japon.
Quelle est la différence entre « Ohayō » et « Ohayō gozaimasu » ?
“Ohayō” est principalement utilisée dans un cadre informel, entre amis ou membres d’une même génération. En revanche, “ohayō gozaimasu” relève des salutations formelles, adaptée à la hiérarchie ou au travail. Le suffixe “gozaimasu” transmet la politesse et la distance nécessaire. Cette distinction fait partie des nuances de la politesse essentielles pour s’intégrer et répondre correctement aux salutations dans la vie quotidienne japonaise.
Pourquoi les Japonais ne se serrent-ils pas la main en disant bonjour ?
La poignée de main n’est jamais pratiquée en contexte social au Japon car elle n’appartient pas à la culture des gestes de salutation. À la place, l’inclinaison (ojigi) exprime le respect sans contact physique au Japon. Cette coutume répond aux questions de politesse et de respect de l’espace personnel, éléments centraux des formalités dans la culture japonaise. Le maintien de la distance respecte à la fois la tradition et les attentes contemporaines.
Quand utilise-t-on « Sayōnara » ?
“Sayōnara” signifie “au revoir” dans la langue japonaise, mais cette formule est réservée aux séparations longues ou définitives. Dans les échanges quotidiens, “mata ne” ou “dewa mata” se substituent pour les au revoir plus légers. Cette subtilité s’inscrit dans l’ensemble des formules de politesse japonaises et répond à la volonté d’adapter son langage au contexte de fin de conversation.
J’ai 44 ans et je suis un marcheur dans l’âme. La randonnée est mon moteur, mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est explorer des paysages variés et échanger avec des personnes de cultures différentes. Ce sont ces rencontres qui donnent tout leur sens à mes voyages. Grâce à Expedisia, je vous emmène avec moi vers des découvertes authentiques et enrichissantes.





